Voyageur Cosmic

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"Le Voyageur du Cosmos"

Roman de science fiction, par Chu BangFu.

Quatre chapitres sont disponibles.

Pour télédécharger les quatre chapitres

ensemble et compressés:Cliquer ici

 

Pour les télédécharger séparément cliquer ici dessous:

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Préface

Chapitre 1

« Des fleurs en bordure de la maison attristent le coeur  du voyageur. »

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Chapitre 2

« Je me suis réfugié sur ces hauteurs, loin d'un monde noyé dans les soucis. »

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Chapitre 3

« Le fleuve Jin, lumineux de printemps, s¡¦écoule entre le ciel et la terre. »

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Chapitre 4

« Les nuages sur le mont Jade se métamorphosent toujours, comme ils le faisaient autre fois.»

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Introduction des traducteurs:

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Pourquoi ce roman est unique? Tout simplement :

-                     C¡¦est un roman fiction écrit par un Chinois : c¡¦est une chose rare. Mais le plus important c¡¦est que le chinois en question, Chu BangFu (CBF), n¡¦est pas un chinois comme les autres, et évidement, et cela transparaît dans le roman. 

-                     Notons tout d¡¦abord que l¡¦un des personnage les plus importants du roman c¡¦est un réseau informatique super intelligent qui contrôle tout : or, il se trouve que l¡¦auteur est l¡¦inventeur du premier ordinateur Chinois qu¡¦il a créé avec la collaboration de la grande société Acer, il y a 20 ans au moment, où, tenez vous bien, le gouvernement de Taiwan, grand gardien des formes traditionnelles des caractères chinois, s¡¦apprêtait à déclarer forfait et à les jeter à la poubelle, vu que tous les experts, y compris des gents forts comme ceux de IBM, avaient proclamé, --après de coûteuses recherches infructueuses, il faut le reconnaître,  que les dits caractères étaient incompatibles avec les ordinateurs : s¡¦en était fait d¡¦une langue cinq fois millénaire. Heureusement, Zorro-CBF est arrivé, et a inventé la méthode CangJié qui a réglé le problème. C¡¦est pourquoi, en Asie, l¡¦auteur de ce roman a été rebaptisé, avec raison : « Le père de l¡¦ordinateur chinois ». Donc, on peut dire sans se tromper beaucoup, qu¡¦il en connaît un bout sur l¡¦informatique. 

-                     En plus et surtout, il ne s¡¦est pas arrêté là. Depuis sa première invention, et à vrai dire même avant, il a aussi découvert la clé tant recherchée par les savants de l¡¦informatique, la clé qui ouvre la porte sacrée des machines intelligentes : grâce à aux particularités symboliques et graphiques des caractères chinois ¡Vqui étaient considérées comme le handicape majeur à leur informatisation, il a devisé un système unique qui permet à l¡¦ordinateur de comprendre ce qu¡¦on lui dit, ou écrit, -en chinois, bien sûr, en attendant la version multilingue.  En d¡¦autres termes, pour lui, un ordinateur intelligent autant ou sinon plus que nous, c¡¦est du présent. La quête du Graal virtuel est achevée. Si bien que son roman fiction n¡¦est pas le fruit d¡¦une imagination fertile -comme celle qui anime les nombreux écrivains, mêmes les plus grands, de ce genre littéraire, mais projection d¡¦une réalité certaine. Ce n¡¦est pas de la fiction que vous allez lire: c¡¦est l¡¦avenir de vos enfants, ou petits enfants!  Si c¡¦est vrai, c¡¦est quant même intéressant, et unique comme je le disais au début. Et voilà pour le côté intelligence artificielle du roman. Le reste vous le découvrirez en le lisant. 

-                     Mais il y a encore d¡¦autres aspects très uniques : par exemple, bien que la pensée de Chu BangFu aie été formé aux idées modernes et scientifiques, et que, dans sa jeunesse, il aie éprouvé une admiration certaine pour la réussite du monde occidental comparée à la stagnation de la Chine de ses ancêtres, il s¡¦est un jour soudainement éveillé aux richesses de sa propre civilisation multimillénaire. Ici, nous, Français, nous pouvons être un peu fiers, car l¡¦une de influences qui avait contribué à cette saine réévaluation principes fondamentaux qui gouvernent la nature humaine et son environnement cosmique et spirituel remonte aux lectures d¡¦un penseur français, René Guénon, un maître du symbolisme et de la métaphysique et des sciences dites traditionnelle. Fermons la parenthèse. 

-                     Sur cette lancée, notre informaticien s¡¦est mis en tête d¡¦utiliser les connaissances et technologies les plus avancées au services des vérités, ou même pour être tout à fait franc, de la vérité, telle qu¡¦elle apparaît exprimée dans la culture chinoise et en particuliers ses grands classiques que nous connaissons tous : le sévère Lao-Tseu, Zhuang-Tzeu le rigollot, Confucius le débonnaire, et le Buddha assimilé à la chinoise dans sa Sutra du Diamant. Bien sûr, il y a aussi tous les autres et surtout n¡¦oublions pas le Yi Jing, ce Livre qui continent en puissance toutes les mutations possible et imaginable, tant dans le domaine humain que cosmique. Et cela me fourni la transition pour vous révéler que, Chu BangFu, après avoir ruminé tous ces ingrédients pendant un quart de siècle, en est venu à la conclusion que tout, je dis bien tout : la nature de l¡¦univers, les lois physiques qui président à tous ses processus, même celles de Newton et d¡¦Einstein, la matière, l¡¦espace et le temps, et l¡¦homme  (y compris les femmes comme dirait Sacha), son essence, sa psychologie, ses valeurs, son comportement individuel et social, et jusqu¡¦au fonctionnement de son cerveau et la structure de sa pensée, tout disais-je, doit être posé sur de nouvelles bases. Ce n¡¦est pas que tout soit rejeté, loin de là; il s¡¦agit plutôt d¡¦une perspective, unique dans à notre époque, qui se fonde sur la sagesse des anciens, ce qu¡¦ils avaient découvert et qui est oublié, pour créer une théorie scientifique unifiée, de la Totalité. Le rêve des penseurs et savants de tout temps, le super Graal.

-                     Je n¡¦en dirait pas plus sauf que, l¡¦ensemble de ces idées avaient déjà été énoncées, en bon et dû ordre, d¡¦une manière systématique, par Chu BanFu lui-même dans son ouvrage : « Les Neufs Discours sur la Sagesse-Intelligence », œuvre très abstraite et complexe, difficile à lire mais que l¡¦auteur considère comme la porte vers la vraie connaissance.

 -                     Bien heureux lecteurs du « Voyageur du Cosmos », ce roman reprend, une à une, toutes ces théories révolutionnaires et époustouflantes, mais comme en se jouant : ce n¡¦est plus un casse tête chinois, c¡¦est un voyage de découverte cosmique et intérieure à la fois, une expérience unique (encore!), qui, nous en sommes sûr, vous marquera et même pourra changer votre vie, vous inspirer à trouver le chemin du retour vers l¡¦origine. En plus, vous apprendrez beaucoup de choses sur la culture la plus ancienne de notre monde actuel. Mais ça, c¡¦est un bonus. Que pourrions vous souhaiter de plus?

 Ah! Oui! Bon vent! Bon voyage! Bon retour!

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